Alain Bruneel

Je crois en la capacité de chacun d’entre vous à prendre sa vie en main et à bousculer le monde.

Présentation

Portrait

51 ans après être entré à l’usine, j’ai rejoint les bancs de l’Assemblée nationale à l’occasion des élections législatives de 2017.

A 14 ans, je prenais le chemin de l’usine pour travailler à Tourcoing, dans le textile. C’était le 16 août 1966, un souvenir fort.

J’ai très vite milité à la jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) puis je me suis engagé au niveau syndical via la CGT. J’ai prolongé cet engagement en politique avec le Parti Communiste Français. Cela m’a permis d’avoir confiance en moi et de croire aux autres. Depuis cette période, je suis convaincu de la capacité de chacun d’entre nous à prendre sa vie en main pour améliorer les choses.

En 1988, je suis arrivé à Lewarde, une ville dont j’ai eu l’honneur d’être Maire de 1999 jusqu’en juillet 2017. Ce fut de belles rencontres avec la population qui m’ont permis de m’enrichir et de me construire grâce à tout ce que les citoyens m’ont apporté. Ces années ont été déterminantes dans mon parcours. Avec les Lewardois et Lewardoises, nous avons su nous rassembler dans la diversité et mener de belles initiatives.
Je me rappellerai toute ma vie cette anecdote où, pour perpétuer la tradition, je suis monté jusqu’au clocher de l’Eglise pour y accrocher le coq suite à la réfection de la toiture et du clocher.

Dans le Douaisis, nous avons mené de beaux combats avec les mardis de la colère.
Rassemblement pour le maintien et la défense de l’imprimerie nationale. Nous avons gagné  !
Pour la défense et le maintien d’Arbel Fauvet Rail  : nous avons également gagné  !
D’autres batailles sont toujours en cours, comme celle qui m’anime pour la gratuité des transports scolaires ou pour la redynamisation du triage de Somain. Emploi, logement, santé, les combats sont nombreux pour notre territoire.

51 ans après être entré à l’usine, j’ai rejoint les bancs de l’Assemblée nationale à l’occasion des élections législatives de 2017.

Élu député, je suis très sensible à la vie associative. C’est la force du bénévolat qui permet à chacun de vivre ses passions et de ne pas être isolé. La vie associative, c’est le poumon essentiel de nos quartiers et de nos communes.

La santé n’est pas une marchandise. J’en ai fait une question forte de mon mandat en étant à l’initiative du tour de France des hôpitaux mené par les parlementaires communistes du Sénat et de l’Assemblée nationale afin de co-écrire une loi sur la santé.

En politique comme ailleurs, rien n’est figé. Tout dépend de notre capacité à nous rassembler dans l’action. La plus grande force pour améliorer la vie  : c’est vous  !